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Slovénie : le gouvernement va interdire l'entrée sur le territoire de deux ministres israéliens
Slovénie : le gouvernement va interdire l'entrée sur le territoire de deux ministres israéliens

Le Figaro

time21 minutes ago

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Slovénie : le gouvernement va interdire l'entrée sur le territoire de deux ministres israéliens

Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich, partenaires clés de la coalition de Benyamin Netanyahou, vont être interdits d'entrée sur le territoire slovène. Le gouvernement slovène a annoncé jeudi 17 juillets des mesures pour interdire l'entrée sur le territoire de deux ministres israéliens d'extrême droite, une initiative présentée comme «une première dans l'Union européenne». Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich, partenaires clés de la coalition du premier ministre Benyamin Netanyahou, vont être déclarés «personae non gratae» en raison de leurs «propos génocidaires, encourageant une violence extrême et de graves violations des droits humains des Palestiniens», selon un communiqué. Publicité Plus d'informations à venir...

Les femmes ont leur premier enfant à 29 ans en moyenne
Les femmes ont leur premier enfant à 29 ans en moyenne

Le Parisien

time9 hours ago

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Les femmes ont leur premier enfant à 29 ans en moyenne

Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, soit cinq ans plus tard qu'en 1974 , selon une étude publiée mercredi par l'Insee qui confirme une tendance observée depuis la fin des années 1970 en France et dans l'Union européenne. « L'âge conjoncturel moyen des mères à la naissance de leur premier enfant atteint 29,1 ans en 2023, soit 0,9 an de plus qu'en 2013, 5,1 ans de plus qu'en 1974 et 4,9 ans de plus qu'en 1967 », précise l'institut national de la statistique et des études économiques. Du milieu des années 1970 à la fin des années 1990, ce recul de l'âge pouvait s'expliquer par la diffusion des méthodes de contraception , l'allongement des études et « la participation croissante des femmes au marché du travail », souligne l'institut. D'autres facteurs ont depuis pris le relais, comme le contexte socio-économique, politique ou environnemental qui a pu « conduire à reporter des décisions de fécondité », ou encore une durée de scolarisation accrue. La hausse de l'âge à la première maternité décale sans surprise l'âge aux maternités suivantes, relève l'Insee : les mères qui mettent au monde leur deuxième enfant en 2023 sont âgées de 31,6 ans en moyenne, soit 4,8 ans de plus qu'en 1967. Quant au délai entre les naissances, il n'augmente « que très légèrement », à 4,2 années en moyenne, soit 0,1 an de plus qu'en 2013. Loin d'être une exception française, cette hausse de l'âge au premier enfant concerne l'ensemble des pays de l'Union européenne . En 2023, il était en moyenne de 29,8 ans parmi les 27 États membres, avec d'importantes disparités d'un pays à l'autre. Les femmes dans les pays de l'est de l'UE et dans les pays baltes ont tendance à faire des enfants plus tôt (entre 26,9 ans et 28,9 ans) quand la première maternité est à l'inverse plus tardive, à plus de 31 ans, dans une partie du sud de l'Europe, notamment en Italie où l'âge du premier enfant atteint 31,8 ans.

Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, indique l'Insee
Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, indique l'Insee

Le Figaro

time9 hours ago

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Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, indique l'Insee

«L'âge conjoncturel moyen des mères à la naissance de leur premier enfant atteint 29,1 ans en 2023, soit 0,9 an de plus qu'en 2013, 5,1 ans de plus qu'en 1974 et 4,9 ans de plus qu'en 1967», précise l'institut national de la statistique et des études économiques. Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, soit cinq ans plus tard qu'en 1974, selon une étude publiée ce mercredi 16 juillet par l'Insee qui confirme une tendance observée depuis la fin des années 1970 en France et dans l'Union européenne. «L'âge conjoncturel moyen des mères à la naissance de leur premier enfant atteint 29,1 ans en 2023, soit 0,9 an de plus qu'en 2013, 5,1 ans de plus qu'en 1974 et 4,9 ans de plus qu'en 1967», précise l'institut national de la statistique et des études économiques. Du milieu des années 1970 à la fin des années 1990, ce recul de l'âge pouvait s'expliquer par la diffusion des méthodes de contraception, l'allongement des études et «la participation croissante des femmes au marché du travail», souligne l'institut. D'autres facteurs ont depuis pris le relai, comme le contexte socio-économique, politique ou environnemental qui a pu «conduire à reporter des décisions de fécondité», ou encore une durée de scolarisation accrue. Publicité Une tendance à l'échelle européenne La hausse de l'âge à la première maternité décale sans surprise l'âge aux maternités suivantes, relève l'Insee : les mères qui mettent au monde leur deuxième enfant en 2023 sont âgées de 31,6 ans en moyenne, soit 4,8 ans de plus qu'en 1967. Quant au délai entre les naissances, il n'augmente «que très légèrement», à 4,2 années en moyenne, soit 0,1 an de plus qu'en 2013. Loin d'être une exception française, cette hausse de l'âge au premier enfant concerne l'ensemble des pays de l'Union européenne. En 2023, il était en moyenne de 29,8 ans parmi les 27 États membres, avec d'importantes disparités d'un pays à l'autre. Les femmes dans les pays de l'est de l'UE et dans les pays baltes ont tendance à faire des enfants plus tôt (entre 26,9 ans et 28,9 ans) quand la première maternité est à l'inverse plus tardive, à plus de 31 ans, dans une partie du sud de l'Europe, notamment en Italie où l'âge du premier enfant atteint 31,8 ans.

La CGT appelle le gouvernement à ne pas relever la TVA sur le gaz et d'électricité
La CGT appelle le gouvernement à ne pas relever la TVA sur le gaz et d'électricité

Le Figaro

time21 hours ago

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La CGT appelle le gouvernement à ne pas relever la TVA sur le gaz et d'électricité

La CGT Énergie, de concert avec le sénateur communiste Fabien Gay, a exhorté mercredi le gouvernement à renoncer à relever de 5,5% à 20% la TVA sur les abonnements au gaz et à l'électricité, une mesure qui doit prendre effet le 1er août. La France appliquait jusqu'à maintenant une TVA réduite à 5,5% sur la part fixe de l'abonnement et une TVA normale à 20% sur la consommation. Or, cette double taxation n'est pas autorisée par l'Union européenne qui impose des taux de TVA uniformes pour un même service. À compter du 1er août, un taux de TVA à 20% sera donc appliqué sur la part liée à l'abonnement. Cette fiscalité, «on pouvait la niveler par le bas, donc à 5,5% sur toute la facture», a estimé Fabrice Coudour, nouveau secrétaire général de la FNME-CGT, premier syndicat de la branche, lors d'une conférence de presse organisée au Sénat. «Passer d'une TVA à 5,5% à 20% ça veut dire passer l'électricité et le gaz d'un bien de première nécessité à un bien marchand», a estimé M. Coudour, évoquant «un nouveau racket» des ménages. Publicité «Bien marchand» À ses côtés, le sénateur communiste de Seine-Saint-Denis Fabien Gay a annoncé avoir déposé une proposition de loi visant à abaisser à 5,5% la TVA sur l'ensemble de la facture d'électricité et de gaz. «Nous demandons au gouvernement de l'inscrire», a déclaré M. Gay. «Ou alors nous demandons à M. (Marc) Ferracci (ministre de l'Industrie) de revenir avant le 1er août, directement, sur cette hausse inacceptable», a-t-il ajouté, demandant un décret en ce sens. M. Gay a évalué la hausse des factures entre 50 et 120 euros par an «pour un couple moyen». «Le mouvement est neutre en moyenne pour le consommateur d'énergie», a indiqué à l'AFP le ministère de l'Industrie, rappelant que dans le même temps, «l'accise énergétique», une taxe collectée par les fournisseurs d'énergie et reversée à l'État, allait baisser. Une compensation qui ne vaut pas, selon M. Coudour, «pour les ménages les plus précaires, qui ont un minimum de consommation», dont l'abonnement représente une part significative de la facture. «Pour la baisse des factures», mais aussi pour «la hausse des salaires» dans le secteur de l'énergie, la CGT a annoncé son intention d'appeler à la grève dans le secteur de l'énergie à compter du 2 septembre prochain.

Gaza : une association d'experts en droit international intente une action en justice face à l'« inaction grave » de l'UE
Gaza : une association d'experts en droit international intente une action en justice face à l'« inaction grave » de l'UE

Le Parisien

time21 hours ago

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Gaza : une association d'experts en droit international intente une action en justice face à l'« inaction grave » de l'UE

L'objectif apparaît dès les premières lignes du communiqué de presse : mettre « l'Union européenne face à ses responsabilités à Gaza ». Jeudi, l'association des Juristes pour le respect du droit international (Jurdi) déposera « un recours en carence devant la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) contre la Commission européenne et le Conseil de l'Union européenne ». En clair, ce collège d'experts accuse les institutions d'« inaction grave et prolongée face aux violations du droit international dans le Territoire palestinien occupé ». La date du 16 juillet est symbolique : elle coïncide avec la Journée mondiale de la justice internationale. Malgré des mises en demeure et une « avalanche de preuves documentant un génocide en cours à Gaza », la Jurdi constate que l'accord d'association - un pacte économique - qui lie l'UE à Israël est toujours d'actualité et qu'aucune sanction, comme celles qui ont pu être enclenchées contre la Russie, ne frappe l'État hébreu. Les experts en droit international remarquent ainsi que l'« obligation de prévention du génocide » n'est pas respectée. Même constat s'agissant du « devoir de mettre fin aux entraves à l'autodétermination du peuple palestinien ». La question de la vente d'armes à Israël figure aussi parmi les points d'attention de l'association. Certains États membres poursuivent leurs envois de technologies militaires vers Tel-Aviv en « violation manifeste du Traité sur le commerce des armes », sans réaction des institutions de l'UE, alerte la Jurdi. La Cours de justice de l'Union européenne est appelée par les juristes à « constater formellement cette carence » et à « enjoindre aux institutions de l'Union de suspendre leur coopération avec Israël, d'adopter des sanctions ciblées et de respecter leur devoir de prévention ». « Quand les institutions savent, peuvent, et ne font rien, cela s'appelle une complicité passive », clame Patrick Zahnd, président de la Jurdi. Au-delà de la Journée mondiale de la justice internationale, la date choisie concorde avec une actualité toute récente. « Bien que l'UE ait reconnu la violation par Israël de l'article 2 de l'accord d'association relatif au respect des droits de l'homme, elle a refusé de prendre des sanctions, y compris des mesures formelles balayées lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères mardi à Bruxelles contre une promesse d'autoriser l'aide humanitaire dans la bande de Gaza », relate Hasni Abidi, politologue spécialiste du monde arabe, sur X. Les États membres de l'UE étaient en effet invités à se prononcer sur un rapport produit par Kaja Kallas, la cheffe de la diplomatie européenne. Ce document, rapporte Le Monde , affirme qu'« il existe des indications selon lesquelles Israël n'aurait pas respecté ses obligations en matière de droits de l'homme ». Et prévoyait une batterie de mesures restrictives commerciales contre l'État hébreu. Malgré la pression des ONG, l'UE se dit satisfaite des concessions obtenues du gouvernement israélien. Jean-Noël Barrot, le ministre des Affaires étrangères français, s'est seulement dit favorable à ce que l'UE « cesse toute forme de soutien financier direct et indirect à la colonisation ». « Quelques heures après sa déclaration, l'armée israélienne a mené des raids meurtriers contre des abris et des points de distribution humanitaires. Premier bilan : 20 Palestiniens tués et des dizaines de blessés à Gaza dont des enfants et pas un mot de l'Union européenne. Il y a de quoi être fier ! », s'indigne Hasni Abidi. Selon les données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l'ONU, près de 60 000 personnes ont été tuées depuis le début de la riposte israélienne, dont une majorité de civils. Ces représailles ont débuté dans la foulée du massacre terroriste du 7 octobre 2023. 1 219 personnes avaient été tuées par le Hamas ce jour-là, dont une majorité de civils, et 251 personnes avaient été kidnappées. Sur les 49 otages toujours dans les geôles du Hamas, 27 sont déclarés morts par l'armée israélienne.

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